Et toi, fils de l’homme, je t’ai établi comme sentinelle sur la maison d’Israël. Tu dois écouter la parole qui sort de ma bouche, et les avertir de ma part... Dis-leur: je suis vivant! dit le Seigneur, l’Eternel, ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie; et pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël? EZECHIEL 33 v 7 et 11

dimanche 6 novembre 2011

L’ERREUR DU CATHOLICISME 1



 L’ERREUR DU CATHOLICISME I






Le catholicisme est une confession représentée par l'Église catholique romaine et ses institutions. Les dogmes et les préceptes du catholicisme affirment se fonder sur l'Ancien et le Nouveau Testament.
Mais qu’en-est-il vraiment ?

VERITABLE ORIGINE DU CATHOLICISME
Le catholicisme, dans son essence, tire son origine d'ailleurs. Le mot « catholicisme » est tiré de l'adjectif grec καθολικός / katholikós signifiant « universel » ou « général ».

En effet, il s'agit d'un ensemble de doctrines et de pratiques païennes plus ou moins modifiées, « rebaptisées » avec des termes évangéliques. L'élaboration de cette « Église » repose sur l'enseignement déformé des premiers apôtres et sur les différents conciles œcuméniques(visant à harmoniser les rites païens avec les doctrines chrétiennes) tels que le concile de Trente (1545-1563), le concile Vatican I (1870) et le concile Vatican II (1962-1965).

Une lecture superficielle du Nouveau Testament montre que l’Eglise Catholique n’a pas ses origines dans les enseignements de Jésus ou de Ses apôtres. Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de l’adoration de Marie (ou de l’immaculée conception de Marie, de la virginité perpétuelle de Marie, de l’assomption de Marie, ou de Marie en tant que co-rédemptrice et médiatrice), des requêtes aux saints dans les Cieux afin de bénéficier de leurs prières, de la succession apostolique, des ordonnances dans le fonctionnement de l’église, telles que le baptême des enfants, la confession des péchés à un prêtre, le purgatoire, les indulgences, ou l’égale autorité de la tradition de l’église et des Ecritures.

Au cours des 280 premières années de l’histoire chrétienne, le christianisme était interdit par l’empire romain, et les chrétiens étaient terriblement persécutés. Cette situation a changé après la “conversion” de l’Empereur romain Constantin. Celui-ci a “légalisé” le christianisme à l’Edit de Milan en 313 de notre ère. Plus tard, en 325, Constantin a convoqué le Concile de Nicée, dans une tentative d’unification du christianisme. Constantin percevait le christianisme comme une religion capable d’unir l’Empire romain qui commençait, à cette période, à se fragmenter et à se diviser. Bien que cela ait semblé être une situation favorable pour l’église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs.

Tout comme Constantin a refusé d’embrasser totalement la foi chrétienne, mais a conservé plusieurs de ses croyances et pratiques païennes, de même l’église qu’il a promue était un mélange de la vraie chrétienté et du paganisme romain.

Il a donc établi la “Christianisation” des croyances païennes. Des croyances complètement païennes et non bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités “chrétiennes”. En fait, il a réussi la chose par une astucieuse fusion des dates, des rituels et des symboles païens dans la jeune tradition chrétienne.

En voici quelques exemples clairs :

1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme en remplaçant Isis par Marie. Plusieurs des titres utilisés pour Isis, tels que “la Reine du Ciel,” “la Mère de Dieu” et “theotokos” (celle qui a enfanté Dieu) ont été attribués à Marie. Celle-ci a reçu un rôle exalté dans la foi chrétienne, largement au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qu’ils n’auraient autrement pas embrassée. Plusieurs temples d’Isis ont été, en effet, convertis en temples dédiés à Marie. Les premiers indices clairs de la Mariologie catholique figurent dans les écrits d’Origène, qui vécut à Alexandrie en Egypte, ville qui était le point focal de l’adoration d’Isis.

2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain entre le 1er et le 5ème siècle de notre ère. Elle était très populaire chez les Romains, en particulier parmi les soldats romains, et était possiblement la religion de plusieurs empereurs romains. Bien que le Mithraïsme n’ait jamais eu de statut “officiel” dans l’empire romain, il a été de facto la religion officielle jusqu’à son remplacement par le christianisme, pendant le règne de Constantin et des empereurs romains suivants. Alors, Jésus se substitua à Mithra.

 D’ailleurs, la vie de Jésus ressemble beaucoup à celle de Mithra: sa mère, Anâhita, l'immaculée, enfante un bébé du nom de Mithra. Des bergers et des mages viennent même lui rendre hommage. Il ne faut pas oublier que Satan connaissant très bien les prophéties Bibliques sur la venue de Dieu sur la terre. Il a été capable d'inventer une religion très semblable à ce que le christianisme deviendrait plus tard. Le 25 décembre, fête de Mithra, devint alors la fête de Noël. Et l’Eucharistie (le fait de manger le corps de Dieu) vient en droite ligne des religions païennes de l’Antiquité.

En fait, pour passer aussi aisément du mithraïsme au catholicisme, Constantin n'a pas eu de gros efforts à faire. Le dieu Mithra était depuis longtemps appelé Fils de Dieu et Lumière du Monde. On célébrait sa fête le 25 décembre qui était aussi la fête d’Osiris, d’Adonis et de Dionysos. Lui aussi a été enterré dans une caverne rocheuse et il est ressuscité 3 jours plus tard (copié sur la prophétie et sur l'histoire de Jonas dans la Bible). Même le jour saint hebdomadaire (le samedi, chez les Juifs et les premiers chrétiens) a été déplacé le jour suivant, le dimanche, le jour même utilisé par les païens pour honorer leurs dieux, Mithra, entre autre. 

L’une des principales caractéristiques du Mithraïsme était un repas sacrificiel, au cours duquel l’on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du Mithraïsme, était “présent” dans la chair et le sang du taureau qui, lorsque consommé, donnait le salut à ceux qui ont participé au repas sacrificiel (la théophagie, le fait de manger son dieu). 

Le Mithraïsme possédait également sept “sacrements,” ce qui rend les similarités entre cette religion et le Catholicisme romain trop nombreuses pour être ignorées. Constantin et ses successeurs ont trouvé un substitut facile au repas sacrificiel du Mithraïsme dans le concept de la Sainte Cène / la Communion chrétienne. Malheureusement, certains chrétiens primitifs avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la Sainte Cène, rejetant le concept biblique de commémoration simple et respectueuse de la mort de Christ et de son sang versé. 

La Romanisation de la Sainte Cène est l’accomplissement de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée Messe catholique / Eucharistie.

3) La plupart des empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes. Un hénothéiste est une personne qui croit en l’existence de plusieurs dieux, mais en se focalisant sur un de ces dieux ou en lui donnant la suprématie sur les autres dieux. Par exemple, le dieu romain Jupiter avait la suprématie sur le panthéon des dieux romains. Les navigateurs romains étaient souvent des adorateurs de Neptune, le dieu des océans. Lorsque l’Eglise catholique a absorbé le paganisme romain, elle a simplement remplacé le panthéon des dieux par les saints. 

Tout comme le panthéon des dieux romains comprenait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Eglise catholique possède aussi un saint qui “contrôle” chacun de ces éléments, et plusieurs autres catégories. Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu personnel, l’église catholique a aussi attribué des “saints patrons” aux villes.

4) La suprématie de l’évêque romain (la papauté) a été créée avec le soutien des empereurs romains. La ville de Rome étant le centre du gouvernement de l’empire romain, et étant donné que les empereurs romains résidaient à Rome, cette ville s’est hissée au premier rang dans toutes les facettes de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que dirigeant suprême de l’église. Bien évidemment, il était mieux, pour l’unité de l’empire romain, que le gouvernement et la religion d’Etat soient basés dans le même endroit. 

Bien que la plupart des autres évêques (et chrétiens) aient résisté à l’idée de suprématie de l’évêque de Rome, celui-ci a fini par atteindre la suprématie, grâce au pouvoir et à l’influence des empereurs romains. Après la chute de l’empire romain, les papes on récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains « Pontificus Maximus ».

5) Le baptême chrétien, qui s'adressait strictement à des nouveaux convertis, et donc à des personnes en âge de comprendre et d'adhérer volontairement au christianisme, fut remplacé par une adaptation de la cérémonie païenne du "jour lustral" (dies lustricus), où les bébés romains étaient purifiés avec l'eau lustrale (de l'eau bénie par le 'pontife'), recevaient leur nom et devenaient officiellement citoyens romains. 

Le 'rite' créé par cette union n'est rien d'autre qu'une caricature monstrueuse et blasphématoire du baptême chrétien; une procédure politico-religieuse, par laquelle le bébé ou l'individu devient à la fois membre de la société civile et 'adepte' de la religion d'État. Le baptême devient ainsi, en réalité, un rite de mort spirituelle, destiné à introniser les membres d'un empire de conquête matérielle et de mort: l'empire romain et son éventuel prolongement, l'empire catholique romain. Ceci, sous un déguisement d'Esprit et de Vie; sous le nom de Jésus-Christ.    

Bien sûr, l’Eglise Catholique romaine nie l’origine païenne de ses croyances et pratiques. Elle déguise ses croyances païennes par des conceptions théologiques compliquées. L’Eglise Catholique excuse et nie son origine païenne sous le masque de la “tradition de l’église.”

Reconnaissant que plusieurs de ses croyances et pratiques sont totalement étrangères aux Ecritures, l’Eglise Catholique est obligée de nier l’autorité et la suffisance des Ecritures.

Voici le contenu d'un document, conservé à la Bibliothèque nationale de France contenant certains conseils que les cardinaux donnèrent au pape Jules III à son élection en 1550.

" La lecture de l'Evangile ne doit être permise que le moins possible surtout en langue moderne et dans les pays soumis à votre autorité. Le très peu qui est lu généralement à la messe devrait suffire et il faudrait défendre à quiconque d'en lire plus. Tant que le peuple se contentera de ce peu, vos intérêts prospéreront, mais dès l'instant qu'on voudra en lire plus, vos intérêts commenceront à en souffrir.

Voilà le livre qui, plus qu'aucun autre, provoquera contre nous les rébellions, les tempêtes qui ont risqué de nous perdre. En effet, quiconque examine diligemment l'enseignement de la Bible et le compare à ce qui se passe dans nos Eglises trouvera bien vite les contradictions et verra que nos enseignements s'écartent souvent de celui de la Bible et, plus souvent encore, s'opposent à celle-ci. Si le peuple se rend compte de ceci, il nous provoquera jusqu'à ce que tout soit révélé et alors nous deviendrons l'objet de la dérision et de la haine universelles. Il est donc nécessaire que la Bible soit enlevée et dérobée des mains du peuple avec zèle, toutefois sans provoquer de tumulte".
(Feuille Bibliothèque nationale 1089. Volume II. Pages 641-650 - références Fond Latin n°12558 - Année 1550)

2 Timothée 4:3-4 déclare, “Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.”

2 commentaires:

  1. L'erreur du Catholicisme, c'est le titre de votre article ! Mais, attendez que je vous sorte une erreur, non UN MENSONGE, dans votre article ! C'est à propos du dernier texte que vous avez posté sur le Pape Jules III, je l'ai déjà réfuté face à un évangélique... mais comme je vois que ce mensonge est très répandu sur le web, je vais devoir proposer une réfutation sur mon blog... afin de tuer l'erreur ! En attendant, vous pouvez lire Jean 8, 44...

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  2. Bonjour,

    comme promis, voici la réfutation de votre diffamation : http://philosophieduchristianisme.wordpress.com/2012/07/23/un-canular-sur-jules-iii/

    J'espère que la prochaine fois, vous prendrez le soin de vérifier vos copiés/collés du web !

    Lire Proverbes 6,15-17

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